Hugo Wolfgang Jaeger22 yo - Allemande - Célibataire - Aucun - Bisexuel - Caractériel .
Histoire :
« Tu sais que tu es un emmerdeur ?! Le genre d'artiste maudit qu'on devrait pas rencontrer ?! » J'appose un point virgule à la fin de ce mot, je relis ma phrase inscrit en noir sur cette page usée. Le bout de mon crayon ayant trouvé seul un chemin vers mes lèvres.
« Oui je le sais; tu refermes la portes avant de sortir ?!! » Je replonge dans ma musique et pour ne pas entendre ce garçon qui me dit à quel point je suis qu'un sale gosse, je met mon Ipod sur mes oreilles. Depuis quand n'avons nous plus le droit d'être au calme après une nuit agité? Et depuis quand les gens se pensent-ils assez important pour dire quoi que ce soit alors qu'ils sont là que pour une nuit? Je soupire. Il a raison ce mec. Gautier je crois. Non mais je suis pas d'humeur. J'ai pommé mon carnet, et mon lecteur. Et maintenant me voila avec mon ancien Ipod; entrain de me dire que dans la nature se promène un Ipod dernier cris et un carnet noir avec ma vie à l'intérieur. Je me fous de la valeur exorbitante du lecteur, je me fiche de cela. Ce n'est qu'un bout de métal, avec des combinaison électronique. Ce sont surtout mes chansons. C'est ça qui me rend tant de mauvaises humeurs. Je suis rarement plus agréable et sociable que cela certes; mais là malheureusement pour ce jeune homme je suis aussi préoccupé. Je repense au fait que dans mon carnet il y a mon prénom et mon numéro de téléphone? Pourquoi? Car ma meilleure amie c'était amusé à faire une jolie présentation à l'encre sur la première page. D'un coup j'ai pour elle un remerciement; encore faut-il qu'on me le rapporte. Je prend mon GSM et claque vite fait un texto dessus à l'attention justement de la jeune femme.
perdu mon carnet mon Ipod. Pas chez toi? Tiens moi au courant. Sinon ça marche toujours pour le Ritz cette a.p Je n'aime pas faire de beau sms, je trouve ça nul; mais je n'aime pas abréger. Nous avons une belle langue autant la garder, l'Allemand ne s'écrit pas avec des abréviations monumentale-ment choquantes. Oui cette après-midi je vais au Ritz, pour nager puis elle me rejoins. On a rien a faire de nos journée; la fac rouvre dans un mois, en attendant je dois trouver à m'occuper. C'est facile lorsqu'on à passé une année sabbatique à tourner en rond. Après mon diplôme de fin de gymnasium j'ai décidé que tous cela m'avait épuisé. J'ai posé une année sabbatique, je l'ai passé à sortir, à tourner en rond, à lire, me cultiver. En faite je n'ai aucun mérite à ma culture, je suis juste blasé de tous. Alors pour compenser je dévore les informations de tous; et j'écris. J'écris sur tous les sujets. Quand j'étais petit je voulais dessiner; mais le talent de mon père me faisait trop peur. Alors je me suis mis à la musique, j'ai pas eus tord.
Je me lève, enfilant un tee-shirt, je sors de ma chambre et me dirige vers le studio. La porte fermée à clef; je l'ouvre et entre dedans. Je soulève quelques feuille, peut-être que je l'ai oublié ici ce fichu carnet. Non, de toute manière je sais que je l'ai oublié dans un café. Je suis c**; je devrais faire plus attention. Mais que voulez-vous, je suis toujours occupé par autre chose, jamais à tenir en place. Ma tête pense à pleins de chose, et je vois ce monde dérisoire autour de moi. tous le monde le sait; je suis un artiste. Mais mon œuvre c'est moi. Je pourrais vous peindre le tableau d'un jeune homme doux, sensible, artiste torturé, je dirais cela alors que je suis au même endroit dans mon studio devant mon piano. Mais non c'est faux, je suis pas cet homme; moi je suis un c** et j'en ai fait mon art de vivre. Les seules fois où je suis adorable, doux et sensible c'est dans mon compositions. Hors soyez en certains personne ne les verra. Je vis dans le monde qui s'appelle Paraître; et j'impose avec ferveur ma supériorité physique, mental et monétaire. Je suis beau, oui je le sais, les autres aussi le sont; mais moi j'en ai conscience là est le changement, je suis intelligent. Et la troisième chose est reliée à la deuxième je suis riche. La seule fois où j'ai économisé dans ma vie c'était pour mon studio. Non pas que j'avais pas les moyens, mais je me suis lancé le paris stupide d'économiser comme les "pauvres"; j'ai mis chaque mois l'équivalent de votre salaire de côté; bon j'avoue j'ai pas attendu longtemps en un an j'avais bien plus que l'argent nécessaire. Bref l'argent oui, grâce à l'argent j'écrase de suite l'adversité; car l'argent apporte la culture, l'intelligence et beaucoup d'autre chose. Mais moi j'ai une autre arme; et ça croyez moi , c'est bien cela qui me distingue de tous ces fils de. qui sont mes "amis" ou qui se disent l'être. Moi je me fou de tous, je n'ai honte de rien; j'aime rien et tous à la fois. La seule dont je ne me fous pas c'est de ma personne, car je Sais que je suis moi. Peu compréhensible je le sais. Cela enlève beaucoup d'illusion lorsque les gens Croient me connaître et ceux qui Commence à me connaître; comme on le dit beau de loin mais loin d'être beau. Je suis cette définition de l'intérieur. Et j'aime désillusionner le monde qui m'entoure. Je suis un chieur, de la pire espèce. Je défends des valeurs obsolètes qui n'ont plus leur place dans notre société actuelle. Mais hormis cela je suis poli, gentil et serviable. Je fais bien la conversation, grâce à moi des dizaines de personne ont un travail bien payé, je fais bien l'amour aussi parait-il. Je n'en sais rien, je ne le fais que rarement, je ne suis pas que tous ces gens qui couchent avec n'importe qui. Moi je joue puis je lâche. Mais sinon je suis bon joueur, je suis loyale et je crois en la valeur des vraies choses tel que le courage et la loyauté. J'aurais aimé servir une noble cause, défendre mon honneur et mourir au combat. Mais je ne suis pas né au bon siècle; je mourrais d'un accident de Porch, d'une overdsoe ou d'ivresse. Je n'en sais rien, cela n'a guère d'importance à vrai dire. Je suis l'icône de la société éphémère; tous se que les autres font je le fais mais en mieux, je n'aime pas la demie-mesure. Mais amis le savent. Amis. Amis d'un soir, amis d'un jour, les amis de toujours ne s'y comptent plus. Car dans notre monde, dénué de réalité, de réel sentiment, abreuvé de virtualité, de camé et de sexualité; où est donc passé la vraie sentimentalité? Je me le demande; mes mais je les ai perdu un à un. Sauf deux peut-être; on dit que les vrais amis se compte sur les doigts d'une main. Pour nous, les riches, ils sont encore plus rare; par contre on a des tas de connaissance qui pullulent notre répertoire, des maisons à chaque coin de ville, un carnet d'adresse qu'on n'appelle jamais. On on finira par crever, seul, reput, le nez plaint à craquer, l'œil torve à fixer les moulures du plafond à la place du ciel. Nous sommes la générations doré, on n'a pas le droit de se plaindre. Ils ont raison, on a pas à se plaindre, certains meurent de faim nous on meurt d'ennuis, de coke et d'argent. Chacun ses priorités.
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Goûts :
INTO THE WILD peu de monde peuvent comprendre pourquoi. Et je m'en fou, il m'a transporté, transfiguré, ébahit et donner beaucoup d'avis. J'aime ce film pour cette créativité et cette inspiration donnée.
KURT COBAIN je voudrais mourir comme lui, me marier comme lui, être célèbre comme lui. Pas pour le statut, juste pour avoir son aura, sa mystique, pour son regard, pour son talent et son air torturé.
BAUDELAIRE qui peut aussi bien décrire les paradis artificiel qu'une personne qui est dedans ? Car dans sa fausseté il n'y a pas plus vrai, car sa poésie et son art son sublime et qu'au XXIème siècle il aurait finit junkee, DJ ou même comptable, il est né avant tout à son honneur avant les junkee n'était pas si commun.
MON STUDIO nan pas un appartement, juste un endroit calme, merveilleux, un endroit qui est le miens. Où je peux créer, composer et m'évader.
AMSTERDAM est la ville de mes rêve, des drugstore à chaque coin de rue, du shit à en perdre la tête; une ambiance décadente et pourtant pas si anarchique se qui prouve qu'on peut vivre en harmonie.
CHAMPAGNE car je suis pas un adepte des boisson bas de gamme je l'avoue car j'ai une sérieuse tendance à me souler avec des boisson hors de prix et car c'est bon et les bulles ça retourne le cerveau
HIVER pour le côté, je reste sous la couette, l'
ÉTÉ pour le côté estival du monde je sais pas vraiment que choisir.
I WAS BORN TO TELL YOU I LOVE YOU car le groupe en lui même je ne suis pas fan, enfin pas énormément, mais que la chanson dégage la nonchalance d'une fin de relation et que ça donne met le doigt sur le côté éphémère de toute chose.
ZONER un mot peu employer mais qui caractérise bien mon activité favorite. Car lorsque je ne suit pas dans ma musique et dans l'écriture, et bien je ne fais rien de ma vie je l'avoue.
NIRVANA c'est passé de mode le grunge mais Kurt reste néanmoins le parolier que je préfère.
AUCUN ou le journal quotidien lorsque je prend mon café dans un restaurant ça fait viril, classe quoi.
NATATION mais juste le dimanche matin , du tennis de temps à autre mais sinon rien du tout, le sport j'aime pas plus que cela.
MON CARNET DE PAROLE car c'est le truc qui me quitte jamais en dehors de ma carte bleue et de mon portable, enfin en dehors de beaucoup de chose. Mais mon carnet m'est vraiment chère.
VIEILLIR car la vie est éphémère, j'ai toujours l'impression de vivre au jour le jour et m'imaginer vieux, rangé et dans la norme me terrifie.
KINDER, les chocolat de mon enfance ouai j'en mange toujours mais je n'en ai plus rien à faire de la surprise à l'intérieur.
LA PISCINE DU RITZ j'en dis pas plus mais c'est changeant un fantasme étant fait pour être réalisé.
PUEBLO car j'aime l'Espagne et que ces cigarette sans pas trop mauvaises.
HUGO BOSS & DIOR après les odeur change mais ce sont mes deux marques de fabrique.